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APHORISMES
ETRE ET EXISTER
ENSEIGNER LA PHILOSOPHIE
ESTHETIQUE DE L'ABSTRACTION
PRINCIPES DE PHILOSOPHIE ESTHETIQUE
I- Orientation
II- Théorie de la connaissance esthétique
III- Théorie de la rencontre
IV- Théorie de la signification
V- Théorie des échanges et Conclusion
LA PEINTURE HOLLANDAISE AU SIECLE D'OR
LES FANTOMES DE L'OPERA
ON DEVRAIT DIRE...
QU'EST-CE QUE LE NEOREALISME ?
LA STAR, LA VIVANTE ET LE SANS POURQUOI
ESTHETIQUE DU PARADIS TERRESTRE (1)
LE REALISME SELON CEZANNE
NOTE SUR WITTGENSTEIN
ENTRETIEN
CEZANNE ET LA FORCE DES CHOSES
MANTEGNA : ANCIENS ET MODERNES
LE TABLEAU ET LE MIROIR
LE JARDIN A LA FRANCAISE
REMBRANDT, BETHSABEE
PHILOSOPHIE ET RHETORIQUE
LES RELIGIONS DU LIVRE
DU CARACTERE A LA CARICATURE
QUELLE VANITE QUE LA PEINTURE...
LES GROTESQUES
LE ROSSIGNOL ET LA DIVA
LA STATUE AMOUREUSE
L'INTERPRETATION DE L'OEUVRE D'ART
DE L'IDEE DU BEAU A L'ESTHETIQUE
CARAVAGE ET L'OPERA
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PRINCIPES DE PHILOSOPHIE ESTHETIQUE
Mon
doctorat (Qu'est-ce qu'un tableau? Essai sur la formation des images en Europe depuis Giotto), soutenu à la Sorbonne (Paris-I) en 1990, était composé de trois grandes parties :
Dans la première partie, je tentais de mettre à jour la construction du tableau dans l'histoire de la peinture européenne à la lumière d'une théorie de la rencontre esthétique, selon les trois moments qui la composent : le Spectaculaire, l'Hallucinaire et l'Onirique. Cet ensemble, qui forme le véritable cœur de ma thèse, a été publié aux éditions de la Lagune en 1993 sous le titre Métaphores du regard.
Dans la deuxième partie, je proposais une interprétation iconologique d'un tableau que l'analyse du renversement « hallucinaire » désignait comme fondateur. Ce texte, qui se présente comme une étude de cas très singulière, mais destinée à montrer la fécondité de la méthode qui structure les Métaphores du regard, a été publié aux éditions de la Lagune en 1995, sous le titre : Jérôme Bosch et la fable populaire. Une légende médiévale aux sources de L'Escamoteur de Saint-Germain-en-Laye.
Enfin, dans une troisième partie, plus théorique, je m'efforçais de formuler les principes fondamentaux de la méthode qui guidait mes analyses dans les deux parties précédentes. Cette partie, sous le titre Principes de philosophie esthétique, n'a jamais été publiée. Rédigée il y a trente-cinq ans, cet exercice typiquement universitaire – pas de thèse qui n'implique son propre « discours de la méthode » –
n'est sans doute pas sans défauts : s'il fallait aujourd'hui la réécrire, je veillerais à étoffer l'argumentation plutôt qu'à céder au plaisir de la formule ou à la tentation de l'envolée lyrique. Cependant, cette esquisse ne m'est pas étrangère : elle exprime toujours à mes yeux l'orientation générale d'une appréhension authentiquement esthétique de l'œuvre d'art. Elle est susceptible en ce sens d'intéresser le philosophe de l'art – du moins celui qui se situe dans une perspective esthétique, non analytique –
et c'est pourquoi j'ai décidé de la publier sur mon site.
Cette publication se fera en quatre livraisons : tout d'abord « I- Orientation » et « II- Théorie de la connaissance esthétique » ; ensuite « III- Théorie de la rencontre » ; puis « IV- Théorie de la signification » ; et enfin « V- Théorie des échanges » suivie de la « Conclusion ». Pour lire ces différentes parties, il suffit de cliquer sur les titres correspondants dans la marge de gauche.
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